Caitlin Carter


28 ans • Australienne • Avocate • un 15 avril • célibataire (comme s'il y avait besoin d'être en couple pour profiter de la vie... au contraire je dirai même un papillon est mieux lorsqu'il peut voler là où il le souhaite) • N'est pas rousse

MON CARACTÈRE : Etant avocate je parle donc plutôt bien. Les longs discours ne me font pas peur ni tous les règlements à apprendre. Cependant je n'ai aucune idée de quel trait de caractère cela correspond ? L'éloquence fait-elle parti des critères usuels pour définir une façon de penser. Je parle donc je suis...
Bien qu'étant avocate je suis très bordélique, et j'aime par dessus tout m'amuser et avoir du bon temps... On peut donc dire que de ce métier je n'en ai que le poste et l'argent... L'argennnnnnnnntt ! Je fais parti de ces personnes qui pensent que tout dans la vie se monnaie et que pas grand chose si ce n'est le doux son des pièces tombant dans le porte monnaie n'est important... Je ne suis pas avare pour autant... Mais si vous me mettez au défi pour de l'argent en général je ne le refuserai pas... Enfin tout dépend la somme et ce qu'il faut faire... Je ne suis pas une putain mais coucher avec un beau mâle même gratuitement je ne dirai pas non...

J'ai une grande gueule, je l'ouvre quand il le faut, et même d'ailleurs quand il ne le faut pas. Je donnerai mon point de vue même lorsque vous ne le souhaitez pas, à part si je suis absorbée par le vent soufflant sur les grains de sable... autant dire vous me trouverez toujours même sans me chercher. Je peux être très crue dans mes paroles, et gardant de nombreuses choses professionnels je suis aux premiers abords froides et sans coeur. J'ai appris à me défendre et je sais me battre... Cependant je ne suis pas réellement sadique, et je ne tue pas pour le plaisir... A vrai dire à part quelques bagarres où je ressortais un oeil au beurre noir et, ou la jambe ou le bras foulé je ne me suis jamais réellement battu et je n'ai donc jamais tué quelqu'un, préférant briser quelques os... J'ai une force de mouche, la seule chose me permettant de me défendre étant la tactique, et donc la ruse, ainsi que l'agilité et la rapidité...

Seule ma vie compte, je serai donc incapable de compatir même en voyant des morts... Seulement je suis capable de m'attacher intérieurement, je le sais, je suis humaine après tout... Sauf que jamais je ne l'avouerai préférant alors fuir par peur des conséquences la personne. Le monde est grand et beau pourquoi s'encombrer de sentiments qui ne feraient que nous mettre des freins ?

Plutôt courageuse, je me remets vite de grandes frayeurs... Je n'ai pas froid aux yeux et e fais donc rapidement des ennemis puissants... Mais c'est ça qui est bon ! C'est ça qui est si excitant !

AND THIS IS MY LIFE

Déjà petite je ne me laissais pas marcher sur les pieds... Et pourtant cette partie de ma vie ne fut pas facile... Etant fille unique de grands notables on peut facilement dire que je n'ai jamais manqué de rien.... J'étais même gâtée... Et enfant gâtée dit souvent enfant méprisé par les jeunes du même age... Pourtant je n'étais pas méchante et il m'arrivait même de partager certaines affaires... Cependant à l'age de trois ans je compris que si on m'appréciait c'était simplement parce que je pouvais offrir des beaux cadeaux... Résultat j'étais invitée dans tous les anniversaires... Lorsque je compris tout ceci je m'isolais dans mon coin, jouant toute seule avec des cailloux... "Et caillou blanc attaque caillou noir! Prends ça dans ta gueullleeeee sale nègre!" En étant toujours seule je développais donc des défauts extrêmes, je devins vite raciste et mon égo face à cette marée humaine de grosses loques augmenta. Ma vie sociale aurait pu continuer à ne point exister si tout était resté ainsi seulement mes parents, une belle minute d'une belle heure d'un beau jour d'un beau mois d'une belle année, décidèrent de déménager... A l'époque je peux vous dire que j'étais loin de trouver ça joli... En effet si ma vie sociale se retrouvait à néant les professeur m'aimaient bien et me donnaient toujours d'excellentes notes. Ce n'était pas que j'avais un talent pour étudier hors du commun mais simplement que j'avais su les attendrir.

Nous déménageâmes donc... J'avais douze ans, je commençais à devenir attirante. Même si la solitude me plaisait toujours je décidais de ne plus être seule. Même si à cet age ce n'était que de petits flirts je m'arrangeai pour séduire les garçons les plus craints et les plus respectés du lycée... Ils pouvaient m'assurer leur protection et étaient fiers de parader avec une si belle fille sous leurs bras... Les autres filles me demandaient des conseils complètement inintéressants tandis qu'au fur et à mesure que je grandissais et donc que je devenais femme les regards des hommes se faisaient de plus en plus attrayants...

J'avais 20 ans. A l'époque je sortais avec Robert, un beau gars de ma fac de droit. Il était grand et musclé, peu de personnes osaient se frotter à lui... Je ne l'aimais pas... je ne crois pas être capable d'éprouver des sentiments aussi bas, seulement j'avais un profond respect pour lui, j'étais fière de sortir avec lui... Seulement voilà... J'avais beau être une femme je pensais comme un homme... De plus mon copain était aussi mou et prévisible que mon grand-père... Du moins le supposais-je car jamais le besoin de le vérifier me vint en tête... Quoiqu'il en soit sur ce plan-là il me frustrait... Alors malgré moi je commençais à regarder ailleurs, m'interdisant cependant d'aller plus loin qu'un baiser, ce qui malheureusement ne servait à rien... Ce n'était pas un manque d'amour ou d'affection quelconque que j'avais besoin de calmer... Cependant je connaissais les conséquences de ce qu'il se passerait si je trompais Robert... A savoir chez moi tromper se limite à faire l'amour avec un autre type que mon mec... J'arrêtais donc mes délires, consciente qu'ils ne faisaient que me frustrer davantage... C'est alors qu'il se présenta à moi ! Un beau gosse avec des yeux si verts ! Là tout alla très vite... On venait de se rencontrer, on ne parla pas et je ne connus jamais son nom seulement la nuit que je passais avec lui je m'en souviendrai toujours !...

... Mon mec aussi... Alors que je me rhabillais il arriva... ce qui suit je n'en suis pas fière... Il m'attrapa par les cheveux et me cogna contre le mur, une vilaine éraflure parcourut mon visage du sourcil gauche jusqu'au coin de la bouche et aujourd'hui même si on discerne toujours la cicatrice elle ne se voit presque plus... C'est ainsi que j'appris la puissance et la violence de Robert qui me quitta avec ce souvenir. Seulement cela ne changea pas ma manière de vivre, beaucoup d'hommes aimaient cette cicatrice qu'ils trouvaient classes... Et lorsqu'on me demandait comment je m'étais fait ça je répondais systématiquement "je me suis battue"...Malgré tout je prenais moins de risques et apprenait à mentir ainsi qu'à me battre. Un bon avocat sait mentir de toute façon. Bientôt je fus capable de tirer avec n'importe quel flingue et de me battre aussi bien avec des armes blanches que mes poings... Cependant je savais que face à quelqu'un qui savait vraiment se battre je n'étais qu'une débutante qui savait à peine se servir de ses poings... Peu importait je pouvais faire mal et cela me suffisait. Plus jamais je ne laisserai quelqu'un me marquer le visage !

Puis un jour pour des vacances je décidais d'aller passer du temps au carnaval de Rio... Une fête signifiait de la boisson et qui dit boisson dit souvent sexe également... De plus je n'avais jamais été au Brésil c'était l'occasion rêvée ! Ainsi commença mon périple qui allait m'emmener sur une île déserte... avec plein de célébrités... alors osef et vive le bikini... heureusement que la piscine de l'hotel avait un jacuzzi... Plage sans maillot manquerait plus que ça... ou alors à poil!!!

WHO ARE YOU?

PRÉNOM : Il a pas changé SURNOM : J'en ai tellement mais "Maître" est de loin mon préféré AGE : majeure, vaccinée et j'ai même toutes mes dents SEXE : hermaphrodite AVATAR PRIS : Ashley Greene COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : on se le demande FRÉQUENCE DE CONNEXION : aussi souvent que possible c'est à dire que lorsque je ne peux pas me co je ne le serai pas vous n'auriez pas deviné sans moi QUELQUE CHOSE A AJOUTER? :

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